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50 ans de Pascal Stoppa SA : du microprocesseur à SpaceX, en passant par le métier de carreleur

L’année passée, notre entreprise fêtait son demi-siècle d’existence. Et si son parcours est parsemé de rencontres passionnantes et de projets magnifiques, mais aussi des difficultés inhérentes à toute activité économique, ce qui me semble le plus marquant dans tout cela tient à l’évolution du monde durant ces 50 années passées. Entre l’extraordinaire invention du microprocesseur par la firme Intel en 1971 et le premier vol touristique de SpaceX le 14 septembre 2021, notre planète a connu une révolution technologique sans précédent.
À cette dernière, s’ajoutent les nouvelles priorités éthiques des jeunes générations de professionnels, découragées par la brutalité du marché et indignées par les conséquences environnementales d’une société du confort et du spectacle dont ils sont à la fois les héritiers et le fruit.
Ce « syndrome du Titanic » qui habite l’essentiel de l’humanité, la plonge dans une dramatique inconscience écologique, comme si elle avait le pouvoir de restaurer la biosphère d’un claquement de doigts. Hélas, le récent rapport du GIEC démontre l’incontestable influence humaine sur le réchauffement climatique, mais également l’irréversibilité de nombreux phénomènes dus aux émissions passées et futures de gaz à effet de serre, pendant des siècles, voire des millénaires. Cela concerne particulièrement les océans et les calottes glaciaires. Certains d’entre eux pourraient être ralentis ou stoppés en limitant le réchauffement climatique, précise l’étude de 3949 pages. De même, l’enquête publiée par le Lancet Planetary Health en septembre révèle l’effroi des 16 à 25 ans face au futur : les jeunes sont si affligés par l’état de la planète, qu’ils en perdent espoir.

Que faire alors ?
Si l’avenir du monde affairiste est immédiatement lié à la digitalisation, le bonheur, lui, a surtout besoin de sens. Or, rien ne peut apporter plus de satisfaction à une femme ou un homme, que de posséder un savoir-faire manuel artisanal, en particulier dans l’univers de la construction. Travailler de ses mains, c’est le privilège de maîtriser ce que l’on produit et pourquoi on le produit, de détenir une autonomie supérieure dans ses propres projets de vie ; de s’émerveiller devant l’ouvrage accompli et d’en faire don à celui qui en a passé la commande ; de rejoindre une corporation solide et porteuse d’emploi. Dans le secteur du carrelage, de la faïence et de la mosaïque, nous évoluons dans l’espace et la lumière, puis la forme, l’aspérité, la couleur, le motif. Chaque projet est différent !
La progression de la conscience écologique et des normes environnementales nous amène, nous aussi, à une pratique plus responsable du métier. Nous nous dirigeons vers des enduits durables, des matériaux naturels et des processus de travail plus vertueux.
C’est donc mon conseil à la jeunesse : choisir d’être carreleur, c’est bon pour la tête, bon pour son avenir propre et celui de la planète !

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ÉDITO

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